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z roku 1600, 14. listopadu—1601, 8. března. 161

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487. Tobińsi Pommerovi: że zfici se musel porućnictvi nad Pertoltem z Lipeho, a po-
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něvadž rozkaz postaviti ho při dvoře ve třech nedělích, ukládá mu, aby bez odkladu odjel
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do Štrasburku a vrátil se s chovancem na Moravu. Posílí mu 400 zl. uher. na nakoupení
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darů, aby jimi podaroval ty, jímž byl Pertolt doporučen; aby hostina na rozloučenou byla
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vykonána. Na Rosicích 25. ledna 1601. (Konc. vlašský v knih. Blud. 3881. fol. 37. č. 3.)

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488. Poroučí se přízni knížete Kristiána z Anhaltu. Na Rosicích 7. března 1601.
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(Kone. něm. cizí rukou v knib. Blud. VI—3881 fol. 37 č. 4.)

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489.

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Jindřichovi z Eberbachu: děkuje za zprávu o příchodu knížete z Anhaltu ke dvoru; stěžuje

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si na nehodné k němu chování Rueswurma, na pomluvy, že strojí s kurfirštem Falckym pikle

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proti císaři za účelem povýšení jeho za krále Českého; mladého pána z Lipé musel ze Štras-
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burku odvolati; chrtů nemá, však zjedná mu je u přátel. Na Rosicích S. března 1601.

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(A monsieur Henry d'Eberbach. Monsieur. La vostre du 12. Février, par
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laquelle me donnez à entendre centre aultres choses l’arrivée de monscigneur le
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prince d'Anhalt en court, m'a esté envoyée par le dict seigneur enclose en une
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sienne lettre, et ce à Poccasion de l'ouverture qui en a esté faicte par mesgarde,
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dont il luy a pleu faire des escuses avec moy plus que amples, considerée sa
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qualité ct la mienne. Il ma esté trés agréable d'entendre que vous vous portez
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bien et qu'il vous plaist d’avoir souvenance de moy, encores qu’il ne seroit point mer-
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veilles, si vous vous disposiez à m'oublier à l'imitation de beaucoup d'aultres et suivant
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le cours ordinaire de ce monde accoustumé d'adorer les heureus et de fouler aus
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pieds eeus qui sont atteints de mauvaise fortune: mais d'aultant plus se monstre
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la constauce de vostre affection. en mon endroit, puisque mesmes les disgraces et
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malheurs qui me persécutent maintenant, ne vous en peuvent distourner; dont
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d'une parte ie ren[ds] graces à Dieu, à qui il plaist me conserver la meilleure ct
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plus saine partie de mes amis, de l’autre ie suis tenu à vous en remercier ct de
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prier à vouloir perseverer et continuer ainsi qu'avez commencé, afin que, s’il plaise
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à Dieu de me faire échapper un iour dela violence de mes ennemis, i'aye occasion
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de le recognoistre et, au contraire, quand il luy plairoit de leur permettre que ie
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fusse opprimé par eus, i'ave au moins ceste consolation entiere de me voir assisté
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de mes bons amis sans ce que mes desastres les ayent peu estoner ou aliéner
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de moy.

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Quant est à Rossvuorm, encores que ses deportements passéz me facent
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croire que l'insolençce usée en mon endroit soit venue de son propre mouvement,
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si est ce qu’estant la procedeure d'icelle si estrange, ie ne me puis quasi imaginer
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qu'elle ne soit venue d'aultre part et qu'il n'ait esté aposté et attitré à faire ce
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qu’il a faict. Dieu luy pardonne, ie luy ay desia pardonné en mon coeur ct ne suis

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Archiv Český XXVII. 21


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