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z roku 1591, 15. a 16. listopadu. 29
Posteripta: Si le seigneur Alexendre est en ces quartiers par de là, racco-
mande[z] moy à' ses bonnes graces. J'estime que Gian Pedro vous aura declaró ma
volonté touchant Prostiborski, qui est de le faire continuer au service de mon frere,
pourtant esortez le de ma part de faire son debuoir, s'il s'attend à receuoir de
moy du bien ou d'estre avancé par mon moyen.
Archiv Bludovsky, MS. ć. 4134 pag. 236.
28. Odporučuje paní Vanecké dcerušku Bohunku a žádá od ní zprávy z domu. V Sta-
denu 1591, 16. list. — Brandl II. 1. 61.
29. Fridrichovi z Žerotína popisuje cestu svou do Stadenu a sdílí noviny z Francie.
V Stadenu 1591, 16. list. — Brandl II. 1. 59. (Ch.)
30.
Ancelovi píše, že ve 3—4 dnech vstoupí na anglickou loď. V Stadenu zdrżen byl radami
Calandriniovymi, jenz sliboval, Ze bude moci užití lepší a lacinější lodi anglické, a způsobil
tím, že neužil výborné lodi, která dříve odplula, a zůstal v tomto bídném městě. Nejbližší
středu odjede lodí o 160 tunách s 30 děly; zaplatí za cestu 1250 franki. — V Stadenu
16. listopadu 1591.
(A monsieur Anccl) Monsieur, Si l'eusse eu quelque suiect digne de vous,
vous n'eussiez point esté tant de temps sans recevoir de mes lettres, mais il ne
s’est rien passé depuis que ie suis en ceste ville. qui meritast la peine de vous le
faire scavoir. Toutesfois Courtin, qui est plus clairvoyant que moy, s'il a remarqué
quelque chose, n'aura point failli de vous en avviser par celle quil vous a envoyée
la sepmaine passée. Et bien que à cestheur ici mesmes ie n'aye gran cas à vous,
communiquer, neantmoins estaut presques sur mon partement et renvoyant un des
miens à la maison, ie n'ay voulu perdre ceste occasion à vous mander de mes nou-
velles, qui ne sont aultres sinon que dans trois ou quatre iours au plus tard ie
m'embarqueray pour partir d'ici sur une fort bonne navire Angloise, qui est arrivée
peu de iours y à avec la reste de la flotte. L'occasion. de ma si longue demeure
en ceste ville est. procedée d'une faulte que ie fis au commencement de mon arrivée
ici, toutesfois non de mon propre mouvement, mais par les vaines persuasions de
Calandrini, lequel s'estant faussement persuadé luy meśmes, que sur une sienne
lettre qu'il auroit envoyé en Angleterre, on y accorderoit une navire et l'envoyeroit
-on tout exprès içi pour me servir, m'a attiré en la mesm'erreur et m'a faict.
perdre la commodité d'un très bon vaisseau qui. pour lors estoit ici, me faisant
accroire qu'il estoit trop cher et qu'à la venue de la flotte i'en auroy à meilleur
marché, et que prenant cesluy-ci, il me fauldroit payer l’aultre quon auroit.
arresté pour moy, et par ainsi faire double despence, et mille semblables folies.
que l’evenement a demonstrées faulses et telles que ie les avoy estimées tout du.