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z roku 1591, 4. října. 5

suffire pour entretenir quelque mois la despençe de la maison. Au demeurant ie vous avvise que demain, s’il plaist à Dieu, ie part d'ici pour aller trouver le roy et pren le chemin de la Saxe vers Hambourg et Staden, pour m’y embarquer et passer par mer en Normandie. Tay envoyé desià Marc Antoine avec les chevaulx, et est parti lundi dernieur. Je mene petit train et peu:de bons chevaulx, m'ayant privé volontairement d’une partie des meilleurs et l’aultre partie perdue par malheur. Car Sainct George et Kunowicz sont morts, le Favori malade à l'extremité, oultre que i'ay donné à monsieur le Visconte de Turenne le Sultan et le Paccion et, qui est pis, le Cameraire qui m'estoit resté seul de ceulx que i'avoy destiner pour ma personne, le propre iour que nies gens partirent d’içi, a esté mordu par l’Imperial, de facon que ie ne sçay, si on le pourra conduire ou non. Et d'aultant que desor- mais vous ne pourrer point scavoir asseurément le-lieu, ou ie me pourray trouver, ie vous ay bien voulu avvertir d'addresser toutes vos lettres à monsieur de Silleri, qui est l’ambassadeur du гоу aulx Suiçes, lequel en escrivant au roy, m'envoyera pareillement les vostres, car ie ne m'esloigneray iamais d'aupres de luy. Ft ici faisant fin ie prieray le Créateur vous avoir en sa saincte garde. De Brandeis ce 4. d'Octobre l'an 91. Vostre bien bon et affectionné amy Zerotin. Archiv Bludovsky, MS. ©. 4134 pag. 216. +) Mikuláš z Elerbachu, hofmistr Divise z Zerotina, bratra Karlova, pozdéji kanclif kurfirsta Falc-

kého. **) Jan Diviš z Žerotína.

D Pise Vaviinci Circlerovi: lituje, Ze Circler odejel bez jeho vědomí; doufal, že spolu pojedou do Servesty nebo aspoň do Brandýsa. Před odjezdem nařídil Zerotin sprävei Nâméstskému, aby Circlerovi vyplatil 200 tolarü. Odejel z Náměště 2. října a včera přibyl do Brandysa, odkud odjede zitra. Dopisy pro Zerotina md Circler posílati Gryneovi. (Ch). V Brandýse n. O., 4 října 1591.

(D. Laurentio Circlero*) Goldbergensi) S. D. Itane ergo me inscio et insa- lutato discessisti, mi Circlere? At dices: Tua culpa factum. Deum testor, si ita tibi persuades, iniuriam mihi fieri. Nihil minus cogitavi, quam iturum te Brtniczium, ne redires. Hoc inde colligere potes, quod semper tibi suasor fuerim, ut voluntatem camerarii de curru potius per literas explorares, quam coram, veritus, ne tibi mo- lestum esset, toties unam eandemque viam emetiri eundo et redeundo. Existimabam ego venturum te una Seruestam *) usque aut sáltem Drundusium. [ta videor mihi in- tellexisse. tuum animum, ita certe tua verba interpretatus sum. Sed quid? Utrinque peccatum: a me quidem, quod non satis curiosus fuerim; a te, quod plus aeque modestus. Ac utinam non fuisses! Nonne me de sententia tua admonere potuisti etlicet abeuntem retrahere, me inquam, quem scis plane tuum esse et adhue eundem; quem antehac, agnoscere praeceptorem. quem quidem. ut recte sensit pater meus;



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