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z oku 1005, 16.—18. prosince. 267

ad conciliandam Christianis pacem et redducendos ad officium Suae Maiestatis sub- ditos propensione collaudanda. Pergat porro MDV*? in promovendo tam salutari opere, quo laudabiliter confecto, immortalis illam gloria consequetur. Valent denique quam: diutissime et me nullis verae amicitiae partibus unquam defuturum certo sibi persuadeat. Przerovia ad 16. Dec. 1605. MDV** amicus devinctissimus et ad omnia officia obsequia paratissimus Z.

Kone. v knih. Bludov. VI—38S1 fol. 91. č. 41.

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Pánu de Baugy (jednateli krále Francouzského): dékuje mu za puüjcení knih Hermaphrodita

a cestopisu Jacophila. Ujiśtuje ho o své věrné oddanosti pro.službu královu. Komisaři uherští,

kteří přibyli do Vídně, nechtěli přistoupiti k žádnému jednání o mir pro nepřítomnost Illés- häzvho. Zatim hliZi se Hajduci k hranicím Moravským. V Přerově 18. prosince 1605.

(A monsicur de Deaugy.) Monsieur. Ayant achevé de lire à mon retour à la maison vostre Hermaphrodite avec le voyage de Jacophile, pour ne manquer point à ma promesse, je vous renvoye le livre qui en traite, en vous remerciant bien munblement de me lavoir communiqué à lire et laissé pour tant de temps entre mes mains. L'autheur du premier traité monstre à mon avis d’estre homme esprit et de bien et avoir de la cognoissance et esperience beaucoup. Jacophile me semble estre un de ces philosophes que monsieur l'Hermaphrodite tenoit en sa cour pour l'entretenir quand il se faisoit chausser [?] ses moustaches ou entortiller ses cheveux ; ce que pourtant ic ne veulx point estre diet comm’y vouloir interposer mon iuge- ment, mais pour entendre le vostre, lequel i'estime et prise sur beaucoup d’aultres. Fay trouvé par la lecture de l’un ct l’aultre, que ie ne suis plus bon pour aller à l'Isle flottant ni à voyr le royaulme du grand roy, ayant la teste bondée ailleurs qu'à faire le mignon et l’amoureulx, qualités requises pour ceux qui v veulent de- meurer, au dire de ces deux ci qui en escrivent. En échange ie vous redemande avec vostre permission la lettre du sieur Marc-Antoine Lombard que ic vous en- vovay par vostre homme à Pheure quand ie devay monter en coche, par laquelle vous aurez pu entendre la reconnaissance de ma fidèle affection au service du Roy, auquel néantmoins ie n’imput rien de tout ce que ses ministres me font soufrir, me contentant de honneur que le nom de luy estre très-humble serviteur m'apporte.

A mon arrivée, ie trouvay ici des nouvelles, et entre aultres que les com- missaires Ongrois, arrivés à Vienne, n'avoyent voulu entendre à aucun traité de paix pour labsence du seigneur Ileshazi, lequel avoit recusó d'y aller sans saufconduict, et luy en ayant esté envoyé un, il lavoit renvoyé parce qu'il ne Pavoit trouvé assez ample et suffisant, en demandant un aultre mieulx specifié ct au surplus un seigneur. du. pays d’Austriche pour ostage. Mais depuis i'ay receu de lettres. du dict

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