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z roku 1601, 13. prosince 1602 v dubnu. 183

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à l'incontre de moy, vous pouvez juger quil m'a esté impossible de m'accomoder eu
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ceci à vostre volonté, comme i'eusse faict sans faulte si ie n'eusse esté traversé de
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tant d'empechements; cc que non seulement me donne iuste occasion de m'escuser
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en vostre endroit, mais aussi esperance que le refus ne sera point prins a des-
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deing, m'offrant (si Dieu me rend iamais la liberté de pouvoir disposer de moy
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comme parcidevant) vous en donner toute satisfaction que pourrez désirer. Cependant
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ie ne laisseray de prier Dieu pour la vie-et la santé tant de l’enfant, que de vous
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et de madame vostre compagne, iusqu'à tant que i'auroy plus de moyen et de loisir
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de recompenser ceste faulte bien que forcée et commise contre ma volonté.

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Au demeurant, vous avez à sçavoir que j’ay esté oui avec ma partie le
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soubschambellan de Moravie et accusé de luy de trois points principalement: le pre-
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mier qu'au temps des dietes, ie faisoy tenir des preches aux ministres calvinistes en
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mes maisons que i'avoy en villes de l'empereur; le second que i'avoy esté à servir
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le roy de France; et le troisieme que ie m'estoy maintenu en la possession de la
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scigneuric de Cromau contre la volonté de l’empereur. Tay esté de plus accusé
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d'aucuns points particuliers, mais Tai prouvé mon innocence de telle manière que,
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combien que ie ne soy absouls encores par les voix des juges, estant la chose remise
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iusqu’au 14. de l‘évrier, si est ce que tout le monde crie desia contre nos accusa-
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teurs ct publie à haulte voix le tort qu’on me faict à me faire tracasser ainsi de
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terme en terme, dont ie ne manque point d’esperance que, si Dieu m’aide à sortir
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des aultres embrouillements, que ie ne tomberoy point de ce coup. A quoy plaise
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à Dieu me -donner sa grace ct faveur, lequel ie prie vous avoir, monsieur, en sa
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sainte sçauvegarde. 19. Xbris [1601].

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Konc. v knih. Bludov. VI—3881 fol. 47. č. 12.

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mym

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DZE.

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Doktoru Janovi Jakubu Grynaeovi: nevinnost jeho byla sice před soudem dokázána, prohlášení
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rozsudku však odloženo. Vypravuje, co se událo od konce minulého roku, co vedl spor s Die-
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trichšteinem: soud pro nemoc soupeřovu odložen, Sigmund Dietrichštein zemiel. Kardinál
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František Dietrichštein a jiní potom udali Žerotína u císaře pro některá pravdivá, ale ostřejší
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slova pronešená v zemském soudě a vyloučili ho odtud. Když v únoru vrátil se do Prahy,
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pře jeho s Dietrichšteinem umlčena a spor s Italem do března odložen, ale povolán ke kancliti,
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kterýž mu oznámil jménem císaře, aby se z Prahy nevzdálil, dokud by na články žaloby ne-
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odpověděl. V březnu vyslýchán ve při s Italem, při čemž svoji nevinu skvěle obhájil.
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Na Rosicích v dubnu 1602. |

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(Doct. Johanni Jacobo Grynaeo.) Veniam mihi dari peto, quod totis iam
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quinque mensibus nec ad te nec ad generum tuum quidquam de rebus meis [scripsi].
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Ita me hoc toto tempore exercuerunt adversari, ut nullus ad scribendum fuerit
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locus. Videor tamen iam evasisse, saltem molestiis et laboribus et curis finis impo-


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