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z roku 1602, 15. července 20. září. 193

vous et ensemble de prendre mon dict congé en mon nom; ce quil ma promis de faire, et espère qu’il aura faict. Non obstant cela, veu que tant est que ie ne trouve en moy la satisfaction que ie reçerche en ce point, iay voulu accomplir ce debvoir par la présente qui servira de preuve tant de mon entiere affection dediée à vostre personne de plusieures années, comme de l'obligation que j’ay à vos merites, faveurs et particulierement courtoisies, honnestetés, voire bienfaicts que i'ay receu de vous et par vostre moyen; desquelles puisque n'est point la moindre de vous estre employé pour moy si entierement envers le conseil du roy, que ie fusse satisfaict de ce que lavoy fourni pour son serment, et que par vostre sollicitation j’en ay retiré une partie, ie ne veus manquer d’aiouster aus [sic] remerciments faicts de bouche ce tes- inoignage écrit du gré que ie vous en ay, et du désir que j’ay à le recognoistre en vous faisant service.

Et d'aultant, monsieur, que par permission du dict seigneur roy vous avez deliberé de retourner en France, dont pour vostre regard ie suis tres aisé, mais de ma part tres marri, ie vous prieray de ne vouloir point oublier que vous avez un serviteur par deca, et quand aultres propos ou discours vous fauldront à entretenir Sa Majesté, de vous souvenir (toutesfois si les lieus, le temps et les occasions le per- mettront) non de luy offrir mes services, car ils n'appartiennent point en si hault lieu, mais bien de ieter quelque mot parmi les aultres de la tres-humble et tres- devote inclination que Рау au bien et à la grandeur de Sa Majesté; laquelle ie desire aultant estre garantie de tout malheur par la main de Dieu, comme ic prie sa divine bonté de vous accompagner, monsieur, en tout ce voyage ct le bénir de toutes prosperités que vous esperez de sa grâce et attendez de sa toutepuissance. De Rossicz 24. d'Auout 1602.

Konc. v knih. Bludov. VI—2881 fol. 53 . 25.

551. Kašparu Luckovi: prosí, aby zaslané mu listy doručil. Na Rosicích 24. srpna 1602. (Konc. vla$sky v knih. Blud. 3881 f. 58 č. 26.)

552. Filipu Rennerovi ve Vídni radí, aby, setrvá-li pri úmyslu pojmouti neter Jindricha Daniele ze Semanína za manželku, obrátil se s prosbou k pánu z Rožmberka. Na Rosicích 29. srpna 1602. (Opis něm. v knih. Blud. VI 3581 f. 53 č. 27.)

553. Zdenkovi z Waldšteina: vypisuje překážky, které jsou v cestě, že tak dlouho nemůže se dostati v užívání svého dědictví. Ubezpečuje ho, že se co nejvíce přičiní, aby - Ježitost ta byla brzo urovnána. Pozdravuje bývalého vychovatele jeho Ropalia. Na Rosicích 29. srpna 1609. (Kone. lat. v knih. Blud. VI—3881 f. 53b č. 28.)

554. Dru Amandu Polanovi v Basileji: oznamuje, že se sešel v Praze s Lukášem Justem, který hodlal v Čechách se státi buďto lékařem nebo vychovatelem, ale vrátil se do vlasti ke dvoru markrabí Badenského ; v krátce že mu okáže, jakou péči o dílo. jímž Amandus v mysli se zanáší. V Praze 29. září 1602. (Kone. lat. v knib. Blud. VI—3881 f. 53 b . 29.)

Archiv Cesky XXVII. 5



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