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284 A. XXXIII. Dopisy Karla ze Žerotína

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aultre que l'eau: l'en voilà aussi garanti! Cela merite quon chante le Te Deum,
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comme ie ne doubte point que tous les bons serviteurs de Sa Maiesté l’ont faict,
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voire qu'elle mesme l’ait faict en reconnaissance d'un si solennel benefice.

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J'estay quasi en pensée d'en escrire au roy deus paroles pour faire foy de
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très-humble affection que ie continue à son service ct prosperité, mais avant
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depuis compensé mes petites qualités avec sa grandeur, ay trouvé plus à propos
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de n'importuner point sa personne, mais afin de ne faire du tout me présenter
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à celuy qui le represente, comme ie fais par ceste-ci, n’ayant point de doubte de
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n'avoir moins satisfait à mon debvoir par ce moyen, que si ie fuss'allé devers le
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maistre mesmes, auquel comme ie désire tout lheur de ceste vie et l'autre, ainsi
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vous supplie, monsieur, de me consoler de quelque bonne nouvelle que depuis ce
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temps-là aurez recevé de sa part pour l'entretenement et nourriture de ceste liesse
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qui me dure encores par l’agréable souvenir d’une tant heureuse avanture.

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Au demeurant, monsieur, ie ne veus laisser de vous dire que l’ay esté prié
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par le baron de Smirzicz, que vous cognoissez sans doubte, d'envoyer pour son fils
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quelques lettres de recommandation en court; ce que ie ferais très volontiers, si ic
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pensoy qu'elles luy pouvayent servir; mais oultre ce que ie n'y ay point de con-
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naissance hors de M" le duc de Bouillon ct de M" le Grand, ie voy quelles luy
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donneront fort peu d'acces parmi tant des gens qui ne cognoissent pas seulement
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mon nom, non que la personne. J'escriroy à M' Ancel, mais estant en doubte s'il
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se tenoit à la maison, i'en ay voulu prendre premierement information de vous,
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laquelle me donnerez, s'il vous plait, à vostre commodité. Et n'ayaut aultre à vous
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dire, ie feray fin en cest endroit, après vous avoir Laisé bien humblement les
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mains, ie prieray Dieu, monsieur, vous avoir en sa saincte garde. De Rossicz ce
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29. de Juillet 1606.

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Konc. v knih. Bludov. VI—3881 fol. 103 č. 41.

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1249. Mark-Antoniu Lombardovi oznamuje, Ze peníze, které mu byly posläny přes
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Norimberk, 2000 scudü, Calandrini vydá Bonacinovi, kupci ve Vídni; poněvadž doktor Stoppa
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směnku na 3000 scudů zamítl, žádá, aby peníze mu byly poslány jiným způsobem. Děkuje mu
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za piitinéni, že (Žerotín) přišel k svým penězům. Na Rosicích 30. července 1606. (Konc.
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vlašský v knib. Blud. 3881 f. 103, č. 42.)

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1250. Samueli z Castiglionu: dékuje za jeho dopisy z března a dubna, prose zároveň,
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aby v dopisování pokračoval. Je žádostiv zvčdčti, co se děje s jeho bratrancem pánem ze
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Strážnice, jaké to nedorozumění měl s ním, a v případě, že odejel z Basileje, jaké dosti-
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učinění dal jeho vychovatel domu Castiglionskému. Na Rosicích 30. července 1606. (Konc.
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franc. v knih. Blud. VI—3881 f. 104, č. 43.)

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1251. Jeronymu Bonacinovi oznamuje, že peněžní zásilku z Norimberka raději by si
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vyzdvihl ve Vídni, než aby posílal pro ni do Lince. Proti hraběti Salmovi že bude nucen za-


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