s-403
| Selon l'accusation : 'L'instruction n'est pas parvenue à établir formellement l'implication personnelle des responsables au sein de l'appareil politique du RPR.' |
s-404
| - En l'absence de tout responsable politique, c'est l'ancien directeur général de l'Office public HLM de Paris et élu corrézien, Georges Pérol, qui fait figure de clé de voûte de ce vaste système de versements de commissions par les entreprises et de détournement de procédures dans l'attribution de marchés publics. |
s-405
| - Le contrat de maintenance et de rénovation des 3 092 cabines d'ascenseurs des immeubles d'HLM parisiens est attribué en 1992. |
s-406
| Comme dans d'autres affaires politico-financières françaises des années 1990, plusieurs protagonistes de cette affaire appartiennent à des loges maçonniques : Jean-Claude Méry, Jacky Chaisaz, Didier Schuller (loge Silence de la GLNF). |
s-407
| - Le Monde du 22 septembre 2000 |
s-408
| Affaire des marchés publics d'Île-de-France |
s-409
| L'affaire des marchés publics d'Île-de-France ou Affaire des marchés truqués des lycées d'Île-de-France est un dossier emblématique des dérives du financement des partis politiques dans les années 1990. |
s-410
| Chargé des lycées depuis les premières lois de décentralisation, le conseil régional dirigé par le RPR et dont le président était Michel Giraud a engagé, entre 1988 et 1997, 24 milliards de francs de travaux de rénovation, extension et construction dans 471 établissements, il a été prélevé 2% de 'commissions occultes' que se sont partagés ces grands partis, au prorata de leur représentation à l'assemblée régionale (0,8% pour la gauche et 1,2% pour la droite). |
s-411
| La plus grosse part (1,2%) du 'racket' revint au RPR, alors dirigé par Jacques Chirac, secondé par Michel Roussin. |
s-412
| Soit, au total, un peu plus de 150 millions de francs ont été versés par les grands groupes : Bouygues, Eiffage, Spie-Batignolles, Suez et Générale des eaux. |
s-413
| Protagonistes |
s-414
| - Michel Roussin, ex-bras droit de Jacques Chirac à la mairie de Paris. |
s-415
| Il y racontait notamment avoir remis peronnellement des fonds en espèces en 1986 à Jacques Chirac en présence de Michel Roussin. |
s-416
| - Gérard Longuet |
s-417
| Cependant, par un jugement de la Cour de cassation, les tribunaux ne peuvent examiner les investigations menées sur les voyages payés en espèces par Jacques Chirac pour plusieurs millions de francs, qui avaient motivé en 2001 l'interrogatoire par les juges d'instruction de plusieurs proches du chef de l'État, dont sa fille Claude Chirac. |
s-418
| Procès en correctionnelle |
s-419
| Le procès en première instance s'est terminé le mercredi 26 octobre 2005. |
s-420
| - Jean-François Donzel, élu écologiste dissident de Génération écologie, a été condamné à un an de prison ferme (trois ans de prison dont deux avec sursis). |
s-421
| Procès en appel |
s-422
| Le procès doit s'étaler sur cinq semaines, jusqu'au 22 novembre 2006, à raison de deux jours d'audience par semaine en moyenne. |
s-423
| Références |
s-424
| - Gérard Longuet |
s-425
| Plusieurs clubs sont accusés d'avoir influencé la désignation des arbitres pour leurs matches. |
s-426
| Lors de ces échanges, Moggi donnait ses instructions pour la désignation des arbitres dans le matches de son équipe. |
s-427
| Les douze membres du Conseil d'administration de la Juve, dont faisait partie Moggi, démissionnent le 11 mai 2006 [2]. |
s-428
| Elle est rétrogradée en série B (2e division) avec 30 points de pénalité où elle retrouvera la Fiorentina et la Lazio Rome reléguées avec respectivement 12, et 7 points de pénalité. |
s-429
| Liens externes |
s-430
| Histoire du football. |
s-431
| Philippe Rochot, Georges Hansen, Aurel Cornéa et Jean-Louis Normandin. |
s-432
| Dernier élément non négligeable et pourtant souvent 'oublié par la presse'. |
s-433
| Catégorie : Affaire politico-financière française |
s-434
| Le 19 avril 1999 un incendie ravage la paillote Chez Francis construite dans l'illégalité en bord de mer, sur le domaine public maritime, plage de Cala d'Orzo au sud du golfe d'Ajaccio en Corse (France). |
s-435
| - Henri Mazères, colonel de gendarmerie : 30 mois dont 6 mois fermes |
s-436
| Wikipédia : ébauche Corse-du-Sud. |
s-437
| Wikipédia : ébauche droit. |
s-438
| Les photos incriminées |
s-439
| D'après les commentaires les accompagnant dans leur publication par Reuters, il y a notamment deux clichés du même immeuble, datés respectivement du 24 juillet et du 5 août 2006, qui sont censés représenter chacun un 'immeuble de Beyrouth détruit la nuit précédente par un raid israélien' [3]. |
s-440
| Sur la première, des fumées ont été rajoutées par ordinateur sur une photo représentant un quartier de Beyrouth ayant subi une attaque aérienne. |
s-441
| Réaction de Reuters |
s-442
| Références |
s-443
| Drinking From Home. |
s-444
| - ^ 'Reuters admits to more image manipulation'. Ynetnews. |
s-445
| - ^ 'Reuters withdraws all photos by Lebanese freelance', Reuters, August 7, 2006. |
s-446
| Page accédé le 2006-08-07. |
s-447
| - (fr) 'La guerre des images' (avec une explication des modifications) par Alain Korkos, La Boite à Images, 8 septembre 2006 |
s-448
| Après avoir contribué à diminuer le soutien à la guerre, il tourna court avec la perte de l'Indochine et le climat politique et social qui s'ensuivit, peu propice aux débats sur la période coloniale ; il n'eut pas de suites judiciaires en France. |
s-449
| Le trafic (1948-1953) |
s-450
| Son cours était administrativement lié au franc, à la façon du franc CFP ou du franc CFA, afin, théoriquement, de décourager la spéculation monétaire et d'affirmer la domination française dans la région. |
s-451
| Selon Bernard B. Fall, ce trafic fut l'une des sources de profit dans le cadre d'une colonisation dont le bilan général s'avéra très négatif pour le budget national. |
s-452
| Voir aussi |
s-453
| - Yves Gras, 'Histoire de la Guerre d'Indochine', Plon, Paris, 1979. |
s-454
| Liens internes |
s-455
| - Colloque sur les fraudes |
s-456
| Quatrième République. |